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Date de création : 30.12.2011
Dernière mise à jour : 18.06.2012
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DINOSAURES

Publié le 11/06/2012 à 09:29 par francefrancaise Tags : monde création background nature animaux oiseaux animal fantaisie
DINOSAURES

 


Depuis que leur existence a été révélée, les productionscinématographiques ont souvent remplacé les dragons de mythologies populaires du temps passé, par ces fameux dinosaures, qui, jadis, peuplèrent la terre. C'est sir Richard Owen, en 1842, qui est à l'origine du nom, forgé à partir des mots grecs "deinos = Terrible, et "saurus" = Lézard.

Les plus proches des dragons  de nos contes, crachant  le feu et le soufre étaient les carnosaures,  grand carnivores géants. Les ossements retrouvés prouvent, qu'en effet, ces êtres-là devaient  être particulièrement impressionnants. Leur énorme tête posé sur un cou puissant, leur corps disproportionné par rapport à des bras très courts, et une forte et rigide queue, plantée au-dessus de longues jambes musclées, conféraient en sus à ces superprédateurs, l'agilité la vitesse, tous moyens pour dévorer leurs proies le plus efficacement possible. Autour d'eux, surveillant le festin, d'autres charognards devaient sans doute attendre le nettoyage final de la boucherie.

On ne sait pas grand - chose sur la fonction des bras des carnosaures, car, souvent, très petits, ils ne pouvaient même pas atteindre la bouche de l'animal. Par contre, la queue, très musclée, devait servir à contrebalancer le poids du corps, lui assurant ainsi une stabilité convenable malgré la masse énorme de la bête. L'énorme crâne, étaitsemé par de nombreuses fenestrations, qui, diminuant la quantité des os, et allégeaient ainsi la tête, lui conférant plus de souplesse, tout en conservant à l'ensemble une robustesse suffisante pour supporter la puissante musculature des mâchoires.

Cette structure crânienne rapproche les dinosaures des oiseaux les plus primitifs comme les Archoeopteryx. Presque tous les carnosaures datent du crétacé supérieur. On les situe aujourd'hui sur un territoire allant de l'Asie centrale à l'Amérique du nord. Mais on sait aujourd'hui qu'ils furent précédés par d'autres monstres encore
plus énormes, tel l'Allosaurus datant de la fin du Jurassique, et qui atteignait 12 mètres de long.

Le plus grand carnivore terrestre de tous les temps, le Tyrannosaurus rex ( le saurien roi ),  mesurait plus de mètres de haut. Cette bête carnassière démesurée alimente encore les échanges de vues entre spécialistes : Pouvait-il ébranler sa masse énorme et se lancer à la poursuite de ses proies ? Ou bien n'était-il, du fait de sa conformation, qu'un charognard, se contenant des restes dédaignés par les authentiques chasseurs ?

Quand les paléontologues en découvrirent des fossiles, et tentèrent de reconstituer les squelettes, ils virant, à l'évidence, que ces animaux n'étaient pas seulement énormes. Leur corps différait totalement de celui des autres êtres vivants, avec une tête disproportionnée et des bras si petits qu'on les imaginât calcifiés et inutiles. Ces 6 tonnes de chair devaient pourtant nécessiter de nombreux repas, et donc des moyens de se nourrir autres que la simple mendicité des fins de festin de leurs inférieurs.

Dans la nature actuelle, on ne peut que lui comparer l'éléphant, dont certains atteignent 3 mètres de haut pour à peu près 5 tonnes. Mais l'éléphant est plutôt lent, ne dépassant pas les 30 kilomètres à l'heure en moyenne, et, de plus, il est herbivore. Plus un animal court vite, plus il saute haut, et plus ses pieds supportent de fortes
contraintes.

Les études faites sur les os de Tyrannosaurus suggèrent qu'il ne pouvait guère courir plus vite que notre éléphant. En outre, ses bras atrophiés ne pouvaient guère l’aider. Ce qui prouve que l'ensemble de cette création ne jouissait pas d'une très grande vélocité, les herbivores étant bâti sur le même plan conjoncturel.

La paléontologie est une science guère plus âgée de 200 ans, mais les fouilles en Europe, en Amérique du  Nord et en Autralie ont permis la découverte de très nombreuses pistes de dinosaures. Rarement associées à des ossements, il est très difficile d'attribuer les empreintes à telle ou telle catégorie d'individus, mais leur existence prouve que le monde d'alors était totalement différent de celui que nous connaissons.

Signalons, pour terminer, qu'en 1994 fut mis à jour en Mongolie l'un des  plus fabuleux trésors dont puissent rêver les paléontologues : Les squelettes parfois complets de 100 dinosaures, 216 lézards et 187 mammifères. Les carcasses enfouies depuis des millions d'années se sont conservées du fait de  la nature même des sédiments  : du sable dans lequel les animaux ont péri étouffés, au cours, probablement, d'une violente tempête. Condition exceptionnelle qui explique la rareté de telles découvertes.

Pour que de telles transformations surviennent dans la faune, la flore d'une planète, ne faut-il pas imaginer quelque catastrophe universelle ? La fin d'un monde de géants, peut-être au cours de ce que l'on a appelé le déluge.

Peut-être autre chose, fantaisie de la nature et des dieux. Alors que ceux qui se croient les seigneurs de la terre actuelle, n'imaginent pas qu'ils ont découverts tellement de choses, qu'ils vont eux-même se créer un paradis !

Les paradis de cette sorte sont mortels, et nous sommes peut-être à la veille de l'agonie qui précède la disparition  de notre civilisation. Trop de faits nous laissent, en effet, penser que les humains se sont trop approchés du bord du gouffre, et qu'ils finiront par tous y glisser.


Christian RICARD